Chers amis,

L’annonce conjointe :

  • du reconfinement d’un tiers de la population française,
  • de la ré-autorisation du vaccin AstraZeneca

constituent selon moi un très sinistre signal.

Qu’a appris le gouvernement en un an ?

En un an, le gouvernement ne semble pas avoir appris de ses erreurs passées. 

On remet en confinement des régions où les capacités de lits en réanimation n’ont quasi-pas augmenté.

Qui peut trouver ça normal ?

Prenez l’île de France. Au moment de la première vague, la région disposait de 1225 lits de réanimation.

En mai 2020, l’urgence post-première vague était sur toutes les lèvres : il fallait augmenter cette capacité. Très vite, très fort.

Il y a aujourd’hui… 200 lits de plus en Ile de France. Soit 1425.

Et encore, on n’est pas sûrs de ce chiffre !

Jean-Michel Constantin, secrétaire général de la Société française d’anesthésie et de réanimation (SFAR), affirme dans le quotidien La Montagne : 

« Il n’y a pas eu d’ouverture de lits. Il y a en revanche eu un équipement adapté des lits de soins continus (lits intermédiaires). Ils ont été armés pour pouvoir faire de la réanimation. Ce qui explique cette hausse.[1] »

Comprenez : rien n’a vraiment changé.

Peut-on accepter une telle inertie de nos pouvoirs publics ? Qui nous ré-enferment car les hôpitaux sont à nouveau saturés ?

Oui, il y a un lien entre les thromboses et AstraZeneca 

Concernant Astra Zeneca, c’est à tomber de sa chaise.

Trois heures avant l’annonce par l’Agence Européenne du Médicament que le vaccin AstraZeneca était « sûr et sans danger », une étude norvégienne confirmait exactement l’inverse.

Je vous invite à lire l’article qui fait état de cette étude – le lien est en source et ne provient pas d’un obscur site complotiste mais du journal Le Monde, intitulé sans ambiguïté « AstraZeneca : des chercheurs norvégiens établissent un lien entre le vaccin et les thromboses »[2].

Voici ce que déclare le Pr Pal Andre Holme qui a dirigé l’enquête norvégienne :

« Ces résultats soutiennent l’hypothèse, que nous avions avancée plus tôt, selon laquelle ces patients ont développé une forte réponse immunitaire, ce qui a conduit à la formation d’anticorps, qui peuvent affecter les plaquettes et ainsi provoquer un thrombus [caillot sanguin] »

Ces conclusions surviennent après le décès de trois personnes, survenu après avoir reçu le vaccin AstraZeneca.

Il s’en ajouterait un 4ème : un soignant d’une trentaine d’années ayant succombé à une hémorragie cérébrale après son injection.

La ré-autorisation de l’Astra Zeneca, suivant l’avis favorable rendu par l’Autorité Européenne du Médicament, est honteux.

Il est motivé de toute évidence par :

  1. les puissants intérêts financiers derrière les vaccins Covid ;
  2. la panique des politiques qui veulent vacciner le plus vite possible les populations, tétanisés par l’accusation qui pourrait leur être faite de « ne rien faire ».

Le problème d’Astra Zeneca, c’est que c’est la loterie. 

Vous pouvez effectivement « ne rien avoir », passer au travers. Mais vous pouvez aussi développer une thrombose mortelle !

Je n’ai pas envie de participer à cette loterie. Et vous ?

Voulons-nous d’une société du vaccin ?

En France, le gouvernement joue la carte paternaliste rassurante. 

Le premier ministre Jean Castex a héroïquement annoncé, hier, qu’il allait se faire injecter de l’Astra Zeneca – cherchant à prouver sa confiance.

Alain Fischer, le délégué de stratégie vaccinale de ce même gouvernement, a quant à lui tranquillement annoncé mardi sur France Inter, au sujet de l’annonce de la suspension du vaccin AstraZeneca :

« Personnellement, je ne suis pas un très grand fan du principe de précaution [3]».

Si on l’entend bien, le vaccin d’abord, le principe de précaution ensuite !

Où allons-nous mes amis ?

Je rajoute que, sous prétexte de retrouver la « liberté » de voyager, de sortir, d’aller au restaurant ou au cinéma, bref de vivre « comme avant », l’Union Européenne planche désormais sur un « pass Covid » ou « passeport vert ».

Un carnet de vaccination en somme, qui conditionnera le moindre de nos faits et gestes.

Cette affaire est la dernière « dinguerie » en date de nos autorités.

Nous savons que les vaccins actuels seront bientôt dépassés face aux nouveaux variants.

Nous savons qu’on va nous demander de faire de nombreux « rappels » – comme des mises à jour de logiciel pour ordinateur. 

Le passeport vaccinal, c’est une vie à deux vitesses qui s’annonce pour vous : soit vous êtes à jour de vos vaccins… soit vous êtes puni : pas de déplacement, pas de restaurant, pas de cinéma.

Et nos libertés individuelles ? Notre liberté de choix ?

Est-ce de cet avenir-là que nous voulons pour nous, pour nos enfants et nos petits-enfants ?

Si vous êtes aussi inquiet et déçu que moi, je vous invite à signer cette pétition que je viens de lancer contre le passeport vaccinal.

Plus nous serons nombreux à la signer, plus il y aura de chances que le gouvernement, enfin, revienne au bon sens et au respect de nos libertés. Le lien pour signer la pétition est ici.

Portez-vous bien,

Rodolphe


[1] La montagne, 21.01.2021. Covid-19 : y a-t-il plus de lits de réanimation en France depuis la première vague ? Oui, mais… https://www.lamontagne.fr/paris-75000/actualites/y-a-t-il-plus-de-lits-de-reanimation-en-france-depuis-la-premiere-vague-oui-mais_13905930/

[2] Le Monde : Hivert, A.-F. 18.03.2021. Astra Zeneca : des chercheurs norvégiens établissent un lien entre le vaccin et les thromboses. https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/03/18/des-chercheurs-norvegiens-etablissent-un-lien-entre-le-vaccin-astrazeneca-et-les-thromboses_6073617_3244.html

[3] France Inter, le 7-9, mardi 16 mars 2021